LES PARASITES DU GENRE ECHINOCOCCUS.
LES ECHINOCOCCOSES AVANCEES,
LES DECELER PAR LA DEPRESSION DU PATIENT, LA REFLEXOLOGIE PLANTAIRE,
LA DERMATOLOGIE DES PIEDS ET DES PAUPIERES INFERIEURES COMME OUTIL DIAGNOSTIQUE PRECIS.
Philip Charpentier
INTRODUCTION.
La présence de parasites du genre Echinococcus est grandement sous-estimée aussi bien par le grand public qui n’est souvent pas au courant de l’existence de ce redoutable ver, que par le monde médical, où de nombreux médecins n’ont jamais entendu ce nom non plus.
J’espère pouvoir aider le praticien, quel qu’il soit, à remarquer ce dangereux intrus, au patient atteint de pouvoir enfin mettre un nom sur un problème de longue date. C’est en soignant des enfants de 4 à 13 ans et en voyant que ce parasite est plus commun qu’il ne devrait l’être qui m’ont mis à l’écriture de ce petit article sans prétentions et qui ne cherche qu’à améliorer le sort de son prochain.
LES ECHINOCOCCUS.
Les Echinocoques font partie des vers plats, auxquels sont apparentés le Tænia du bœuf et le Tænia du porc provoquant ly cysterciose porcine.
L’animal hôte est généralement un prédateur : loup, renard, chien, chat, mais se transmet également par un nombre de rongeurs sauvages.
Leur vecteur principal n’est pas principalement la viande contaminée par le parasite (le mouton, majoritairement) mais principalement les légumes (90%).
Les gens les plus à risques sont les végétariens se nourrissant du jardin potager contaminé par des escargots, premiers porteurs des Echinococcus. Le chou de Savoie, le chou rouge, le poireau ne sont que quelques exemples d’où peut s’installer le ver. A la cueillette, il ne faut pas prendre de plantes médicinales ou d’épices qui montrent des marques du passage d’escargots, car le danger de contamination est bel et bien réel.
L’homme ingère les œufs déposés dans la bave en qui ne s’enlèvent pas par lavage normal, seulement et partiellement avec de l’eau fortement saline. Les œufs semblent survivre aussi bien à l’infusion qu’à la décoction prolongée d’un repas (choux)
Ces oncosphères migrent du tract digestif vers ses tissus de prédilection, le foie, les poumons, la rate, plus rarement vers le cerveau. Ensuite ils se développent en kystes solitaires, genre de vessies qui sont remplies de de fluide hydatique. Ce fluide contient de la gravelle, des débris de toutes nature, et produit les capsules reproductives d’où émergent de nombreux nouveaux parasites. Les grands kystes peuvent contenir plusieurs litres de fluide hautement antigène. Des kystes secondaires peuvent se développer à partir du kyste principal.
Dans le Merck on trouve que la maladie est commune dans la zone Méditerranéenne, le Proche Orient, l’Australie, l’Afrique du Sud, le Canada, l’Amérique du sud, mais nous ne sommes pas du tout épargnés, et l’Echinococcose est relativement fréquente aussi bien en France qu’en Belgique, en Allemagne, que dans le bassin Méditerranéen, à ne pas s’y tromper !
Echinococcus granulosus se trouve largement répandu, son vecteur principal en Belgique n’est PAS la viande, mais sont les limaces et escargots des jardins.
Ses organes de prédilection sont le foie, ensuite les poumons et la rate, parfois le cœur et le cerveau. Son développement prolongé déclenche les formes les plus violentes de borréliose neurologique dans les patients également atteints par Borrellia burgdorfferi.
Des deux, celle qui se remarque le plus à l’inspection dermatologique des pieds est sans le moindre doute Echinococcus multilocularis. Ce parasite a une distribution aussi grande que E. granulosus. En Belgique, des gens se sont fait contaminer aux abords de Bruxelles, dans le Brabant Wallon.
LES ECHINOCOCCOSES FORT AVANCÉES SE DECELENT TOUTES, ET SANS EXCEPTION, AU PREMIER COUP D’OEUIL SUR UN PATIENT,
PAR UNE PETITE EFFUSION DE SANG, ROUGE, BLEUTEE OU BRUNE SI ELLE EST ANCIENNE SUR AU MOINS UNE DES PAUPIERES INFERIEURES
Il est incompréhensible de devoir constater le nombre de gens qui se font conseiller « d’enlever cette tache de beauté » par des spécialistes en dermatologie, et que la science n’ait pas fait le lien entre ces deux points.
Ceci est un outil diagnostique et fiable à 100%, il ne coûte rien, se voit en un coup d’œil d’une fraction de seconde et n’abîme pas le patient par des test aussi douloureux qu’inutiles que dangereux. Imaginez le médecin sans expérience qui va faire une biopsie d’un kyste alvéolaire rempli de liquide : sa biopsie DEMARRERA LA CONTAMINATION DU PATIENT.
La différence avec les formations cancéreuses sont souvent indécelables, et de très, très, très nombreux « cancers » sont en fait des Echinococcoses avancées avec formation de tumeurs spongiformes dans les tissus, les viscères, parfois les os.
Le développement peut prendre des années.
Je crains que le monde médical ne connaisse pas la différence entre un véritable cancer et le développement de kystes hydatiques et de tumeurs spongiformes métastatiques d’Echinococcus.
Sans diagnostique convenable et sans traitement homotoxicologique, l’Echinococcose se termine toujours par des cancers dits « terminaux » précédés par une phase de dépression totale et de dégénérescence neurologique. La laparotomie est proposée par la « science » comme « solution de choix », mais si un seul œuf est oublié….De plus, le risque est grand de contaminer le corps lors de ruptures opératoires de kystes hydatiques….
Un public averti en vaut deux : la science chimique ne peut RIEN contre les Echinocoques, tandis que l’homotoxicologie peut les soigner et les guérir, même dans ses stades les plus avancés, exception faite peut-être dans les cas où de grands kystes sont logés et produisent des proliférations dans le cerveau.