Les élèves de Robert MASSON
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 La malaria méditérranéenne

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mitch

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Masculin Nombre de messages : 263
Date d'inscription : 01/06/2006

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MessageSujet: La malaria méditérranéenne   La malaria méditérranéenne EmptyJeu 17 Aoû - 23:56

LA MALARIA:
MALADIE ENDEMIQUE DU NORD DE L’EUROPE DEPUIS DEUX ANS.

Philip Charpentier

INTRODUCTION.

Il me fallait publier cet article sous peine de ne pas pouvoir dormir avec ma conscience. Mais ces derniers sept mois je suis confronté à tant d’ignorance et d’incompréhension que je me dois d’avertir les lecteurs du forum, qui pourront en faire de même s’ils comprennent l’exptrême gravité de cet article.

La littérature scientifique limite la zone d’influence de Plasmodium vivax au bassin Méditerranéen, avec, depuis plusieurs années, une remontée du moustique Aedes aegypticus au travers de la Bulgarie, de la Roumanie et des zones avoisinantes.
Est-ce avec notre climat qui se réchauffe sensiblement ?
Mais cela fait donc quelques années que j’attend son arrivée dans le nord de la Belgique.

La fréquence chez la population moyenne est actuellement de plus de 25%.

Plasmodium vivax ne se transmet pas par Aedes aegypticus chez nous, mais par nos propres espèces du genre Culicoides ou, principalement, du genre Anopheles.

METHODE

Les quatre espèces principales (Plasmodium vivax, Plasmodium falciparum, Plasmodium ovale et Plasmodium malariae) sont des souches homotoxicologiques ou transcrites.
Elles sont lues avec les IgA, IgG, et mais sans obtenir autant de réactions, des IgM.
Plasmodium se lit dans les analyses du LDH 4 (foie), analyse désormais interdite aux labos.
Pour trouver le vecteur de la maladie, j’ai utilisé des souches de Culiseta, Culex, Anopheles, Anopheles quadrimaculatus, Aedes, Aedes aegypticus, Psorophora.
Seules Culicoides et Anopheles sp. ont testé positifs sur les patients belges n’AYANT JAMAIS SEJOURNE DANS LES PAYS CHAUDS DU SUD.

PLASMODIUM VIVAX.

J’envoyais mes premiers patients Plasmodium vivax pour un double contrôle chez un médecin homéopathe, ne voulant pas croire en mes résultats. Pendant le mois caniculaire d’ août 2003, plus de 70% des patients testaient positifs à Plasmodium vivax, dans une zone lourdement infestée de moustiques et de taons.
En triple contrôle, j’ai envoyé un nombre de patients vers un institut spécialisé qui refusa de faire les test Plasmodium puisque « le patient n’avait pas été dans une zone endémique de paludisme ». Nos différents ministères de la santé ne semblent pas encore au courant que Plasmodium est de retour depuis certainement 2 ans dans l’hémisphère nord.

Les parasites sanguins du genre Plasmodium ont une distribution tropicale et subtropicale, mais leur présence dans le nord de l’Europe n’a été largement enrayée qu’en début du siècle.
Il n’en restait néanmoins des poches isolées dans les zones humides de Belgique et du nord de la France, et on ne peut donc accepter les dires « que la malaria a été éradiquée » dans ces régions, elle ne l’a jamais entièrement été !
Son retour actuel en force est entièrement négligé par les autorités médicales.
Le parasite est très difficile à trouver dans les analyses sanguines contemporaines, les traitements sont insuffisants et déclenchent souvent un nombre de maladies graves et chroniques. Le Manuel Merck indique clairement qu’une protection complète n’existe pas et produit une liste claire des conséquences iatrogènes possibles.
Dans le cas de l’espèce qui nous concerne tous, Plasmodium vivax, il ne faut pas se faire avoir par des chloroquines ou hydroxy chloroquines car ces produits sont depuis belle lurette sans effet en ne servent qu’à l’export outrancier vers des pays pauvres où le médicament n’aura que peu d’effet.
Les noirs sont immunisés contre Plasmodium vivax de par la structure de leurs globules rouges imperméable à la pénétration par Plasmodium.

COMMENT DECELER LA MALARIA.

Contrairement à ce que croient la plupart des gens, y compris les médecins, les accès fébriles avec températures au-delà de 38° sont extrêmement rares sous nos latitudes, ce sont les profonds refroidissements et les passages en hypothermie qui sont l’expression la plus courante de la maladie. Il y a des chutes allant jusqu’à 35.7°C avec des tremblements violents et incessants. La personne qui se met au chaud reste trembler. Chez les gens âgés, cela peut éveiller une sensation traduite par « l’impression de mourir ».
Dans les infections sans virulence extrême, il peut se développer des maux de têtes frontaux avec raideur dans la nuque, qui est typique pour Plasmodium, mais qui partage des traits avec les fièvres hémorragiques virales qui se différencient par des douleurs lombaires accompagnant les céphalalgies (frontales), qui se décèlent par des petits « points » sanguins sur la zone des reins sous la voûte plantaire (selon la position des planches de Eunice Ingham), car j’ai souvent remarqué que ces cas sont en fait des montées de la charge virale du corps atteint. S’il y a des éruptions sanglantes confirmant la présence de virus actifs, il FAUT contrôler la présence de Borrellia ou de Leptospira, car j’ai la nette impression que ces symptômes sont dus à une REACTION et non à une action pathologique directe de P. vivax sous nos latitudes.
Un nombre de jaunisses chroniques et d’insuffisances hépatiques ne sont que des cas de Plasmodium négligés. Un nombre d’irrégularités de taille et de composition de la globule rouge peuvent être les marques de Plasmodium également.

La présence de Plasmodium chez les enfants se remarque par :
Au début de l’infection, une crainte de plus en plus affirmée de tout, le retrait des jeux avec les autres enfants, l’horreur de tout jeu violent, de toute bousculade. Cela s’explique par le fait que la rate, envahie par Plasmodium, gonfle et peut doubler de volume. Après des mois d’infection, la rate retournera lentement à ses anciennes proportions. Les gens ayant subi l’ablation de la rate réagissent le plus violemment et ont beaucoup moins de protection naturelle contre cette maladie qui affecte sérieusement les globules rouges.

La présence de Plasmodium se soupçonne sérieusement par les résultats de réflexologie plantaire suivants :

- la zone de la rate est gonflée à fort gonflée, certainement dans les infections récentes.
- La zone du dessous du foie est gonflée

Cette image se complète par la texture de la peau qui vire vers une certaine jaunisse chez un nombre de patients. C’est le moment de tester vos souches de Plasmodium.

Les personnes atteintes sont souvent tristes, nostalgiques, pleurent vite (rate), les enfants sont souvent dans les jupons des mères et n’aiment pas êtres seuls (également avec Echinococcus), les adultes ont de vagues angoisses et inquiétudes.
Si cette inquiétude tourne vers la panique, il y a d’autres parasites sanguins dans le sang ou les organes comme le foie et la rate, dans ces cas, il y aura la certitude de retrouver également l’un ou plusieurs des parasites suivants :
Plasmodium falciparum
Echinococcus granulosus ou multilocularis
Aspergillus niger avancé
Toxoplasma gondii virulent
Fasciola sp., Fasciolopsis sp.
Cysterciose porcine (Taenia sollium)
Hymenolepis nana

Borrellia burgdorfferi ou Leptospira sp., dans les cas maghrébins et espagnols se fera souvent accompagner et/ou concurrencer par Babesia canis ou Ehrlichia sp. en complément de Plasmodium.

BORRELIOSES NEUROLOGIQUES ET PLASMODIUM

Il y a selon mon humble opinion un lien étroit et très important entre la présence de Plasmodium et le déclenchement de borrélioses neurologiques. Celles-ci seront d’autant plus sévères si d’autres parasites, tels Echinococcus ou Fasciola, Fasciolopsis, sont également présents dans le biotope du corps atteint.

Ceci me semble véritablement frappant.
Dans ces cas, il faut absolument et immédiatement juguler tout ce qui n’est pas Borrellia. Dans les multiparasitoses impressionnantes, chez les gens par exemple qui n’ont jamais été vermifugés, l’on donne la première priorité à la réduction de Plasmodium et Echinococcus, car il me semble qu’en Europe se soient les deux plus puissants démarreurs de borrélioses neurologiques. Toxoplasma gondii agressifs sont également à éliminer en priorité.

HELAS

La plupart des médecins vont se moquer de nous lorsque nous leur dirons que nous craignons la malaria, ils refuseront de faire les analyses Plasmodium si nous n’avons pas visité des zones endémiques, on nous confirmera que les plus hautes autorités savantes se moquent bien de cette idée, etc.
De plus, n’oublions pas que moins de 50% des malarias se décèlent par analyses sanguines contemporaines.
Ainsi va le monde actuel.
Allez donc voire un homéopathe ou guérisseur qui travaille avec des souches de la maladie pour la déceler si vous ne rencontrez qu’incompréhension et /ou paralysie mentale.
A la limite un radiesthésiste compétent peut vous les déceler aussi.
Vous avez 50% de chances de les déceler en disant avoir visité le bassin Médit. sans prendre de prophylactiques et en demandant de faire les analyses.
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